Bienvenue sur Nymlerith
COntextE
Voilà vingt ans que les dieux demeurent silencieux. Même le Père de l'Aube, cette immense montagne qui dominait Nymlerith et dont le fanal illuminait les cieux, s'est éteint. Depuis lors, le monde est en proie aux conflits. Pourtant, une lueur d'espoir semble renaître avec l'apparition de nouveaux légataires de l'Œil Divin. On raconte qu'un porteur qui serait capable de gravir le Père de l'Aube pourrait atteindre une forme de divinité. Pourquoi pas vous ?
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COMPENDIUM
Voici les liens vers les annexes du forum. Comme nous sommes encore en pleine phase de travaux, ne soyez pas surpris si certaines sections vous redirigent vers la page du Compendium, tandis que d'autres mènent directement aux annexes. Nous avons estimé qu'il serait plus pratique pour vous de commencer à naviguer dès maintenant, même si certains éléments sont encore en cours de finalisation.
Entre Chien et Loup ft. Seris
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"Y'a t'il seulement une différence ?"Image :
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[Vassal][Populaire II : Région] Baie de Vassago
[Survie]
[Navigateur]
[Talentueux I]
[Sixième Sens]
[Acrobate]
[Mercenaires II]
[Main d'Œuvre : IV]
[Troupes d'Elite : Assassins]
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MéridienMétier :
Capitaine Pirate, Prince en ExilFeat :
Zihark - Fire EmblemPotentiel :
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33Date d'inscription :
07/02/2024Force :
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{"prez":"https://mirrorofmagic.forumactif.com/t32-la-solitude-est-mauvaise-conseillere","oeilDivin":"3"}Zacharia Onech
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Zacharia Onech
Entre Chien et Loup
Les mers étaient traîtres, mais cela t'allait.
Vous n'étiez qu'à quelques heures de Lucarion, lorsque tu avais reçu un rapport. Lorsque vous étiez dans les eaux de l'Ombrale, tu n'avais pas le temps de te préoccuper de quoi que ce soit, hormis de tenir ton cap. Un moment d'inattention, et vous mourriez tous noyés... Bien sûr, ce n'était pas ta première traversée, loin s'en fallait, mais celle-ci était particulièrement compliquée. Le temps était mauvais, et si n'importe quel capitaine un peu débrouillard pouvait se débrouiller avec une tempête, cela devenait tout de suite plus complexe lorsque la mer penchait obstinément d'un côté ou de l'autre. Alors, là où tes boscos avaient pour habitude que tu viennes les interroger, ils venaient dans ces conditions te faire leur rapport directement, et surtout, évitaient de te déranger pour rien.
Un passager clandestin, c'était rarement rien.
Il avait donc donné des ordres clairs. Sitôt son bosco était il parti, sitôt avait il réuni une petite équipe. L'air de rien, ils s'étaient dispersés dans la cale, faisant mine de récupérer toutes sortes d'affaires, tout en préparant leur attaque. Il n'avait fallu qu'un instant pour ouvrir la caisse dans lequel l'intrus se trouvait et l'assomer. Il avait été tiré de sa planque, attaché, et un homme avait été astreint à sa surveillance, le temps que tu mènes le navire dans des eaux plus tranquilles. Et après plusieurs heures de navigation épuisante, tu finis enfin par te libérer de tes obligations. Les muscles engourdis et raides, tu as enfilé ton manteau habituel, glissé tes armes à ta ceinture, et tu t'es dirigé vers la cale, fourbu mais encore déterminé à faire régner l'ordre.
Le passager clandestin... est surprenant. Seris. Un chien fou. L'ancien second d'un capitaine pirate à qui tu as prêté main forte, il y'a plusieurs années. Archibald, quelque chose comme ça... Un homme méprisable, un marin correct, et un capitaine cruel. Qui avait toujours su tenir ses hommes, et qui n'était pas assez bête pour essayer de te la faire à l'envers... Cela au moins, tu pouvais le respecter, chez lui. C'était toi qui avait "livré" Seris en Lucarion. Une sombre histoire de différend avec Archibald, qui ne te concernait pas vraiment, et dont tu ne te souciais pas beaucoup plus... Intéressant.
Tu t'adosses à l'un des mats, face au corps encore inconscient du jeune homme, et fait un signe de tête à l'un de tes hommes, parmi les quatre avec toi dans la cale, pour qu'il lui jette un seau d'eau froide au visage. S'il a bonne mémoire, il se souviendra que les deux silhouettes au bas du visage masqué t'accompagnaient déjà, lorsque tu étais venu rencontrer Archibald la deuxième fois... Les deux autres sont de simples marins, bâtis comme des animaux de charge, mais sans qualités spécifiques. Alors qu'il se redresse, autant qu'il le peut, mains et pieds attachés, tu prends la parole, d'une voix impérieuse, mais clémente.
"Si Lucarion n'a pas eu ta peau, je ne me vois pas le faire à sa place... Mais tu as quand même de l'audace, de penser que tu peux m'échapper sur mon propre bateau. N'as-tu pas reconnu mon pavillon ? Ou m'as tu déjà oublié, Seris ?"
Vous n'étiez qu'à quelques heures de Lucarion, lorsque tu avais reçu un rapport. Lorsque vous étiez dans les eaux de l'Ombrale, tu n'avais pas le temps de te préoccuper de quoi que ce soit, hormis de tenir ton cap. Un moment d'inattention, et vous mourriez tous noyés... Bien sûr, ce n'était pas ta première traversée, loin s'en fallait, mais celle-ci était particulièrement compliquée. Le temps était mauvais, et si n'importe quel capitaine un peu débrouillard pouvait se débrouiller avec une tempête, cela devenait tout de suite plus complexe lorsque la mer penchait obstinément d'un côté ou de l'autre. Alors, là où tes boscos avaient pour habitude que tu viennes les interroger, ils venaient dans ces conditions te faire leur rapport directement, et surtout, évitaient de te déranger pour rien.
Un passager clandestin, c'était rarement rien.
Il avait donc donné des ordres clairs. Sitôt son bosco était il parti, sitôt avait il réuni une petite équipe. L'air de rien, ils s'étaient dispersés dans la cale, faisant mine de récupérer toutes sortes d'affaires, tout en préparant leur attaque. Il n'avait fallu qu'un instant pour ouvrir la caisse dans lequel l'intrus se trouvait et l'assomer. Il avait été tiré de sa planque, attaché, et un homme avait été astreint à sa surveillance, le temps que tu mènes le navire dans des eaux plus tranquilles. Et après plusieurs heures de navigation épuisante, tu finis enfin par te libérer de tes obligations. Les muscles engourdis et raides, tu as enfilé ton manteau habituel, glissé tes armes à ta ceinture, et tu t'es dirigé vers la cale, fourbu mais encore déterminé à faire régner l'ordre.
Le passager clandestin... est surprenant. Seris. Un chien fou. L'ancien second d'un capitaine pirate à qui tu as prêté main forte, il y'a plusieurs années. Archibald, quelque chose comme ça... Un homme méprisable, un marin correct, et un capitaine cruel. Qui avait toujours su tenir ses hommes, et qui n'était pas assez bête pour essayer de te la faire à l'envers... Cela au moins, tu pouvais le respecter, chez lui. C'était toi qui avait "livré" Seris en Lucarion. Une sombre histoire de différend avec Archibald, qui ne te concernait pas vraiment, et dont tu ne te souciais pas beaucoup plus... Intéressant.
Tu t'adosses à l'un des mats, face au corps encore inconscient du jeune homme, et fait un signe de tête à l'un de tes hommes, parmi les quatre avec toi dans la cale, pour qu'il lui jette un seau d'eau froide au visage. S'il a bonne mémoire, il se souviendra que les deux silhouettes au bas du visage masqué t'accompagnaient déjà, lorsque tu étais venu rencontrer Archibald la deuxième fois... Les deux autres sont de simples marins, bâtis comme des animaux de charge, mais sans qualités spécifiques. Alors qu'il se redresse, autant qu'il le peut, mains et pieds attachés, tu prends la parole, d'une voix impérieuse, mais clémente.
"Si Lucarion n'a pas eu ta peau, je ne me vois pas le faire à sa place... Mais tu as quand même de l'audace, de penser que tu peux m'échapper sur mon propre bateau. N'as-tu pas reconnu mon pavillon ? Ou m'as tu déjà oublié, Seris ?"
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Seris Saleh
Entre chien et loup
C'est parce que nous vivons tous en prison
Que nous avons soif de liberté
Un idéal qui ne sera jamais à portée
Peu importe toutes les révolutions
Que nous avons soif de liberté
Un idéal qui ne sera jamais à portée
Peu importe toutes les révolutions
Lucarion. Depuis que tu y avais mis les pieds, tu t'étais juré de t'échapper de cette prison. De cette terre sans aucune saison. Jamais tu ne deviendras comme ces visages sans nom.
Parce que tu avais une mission à accomplir. Parce que tu voulais te venger. Contre tous ceux qui t'ont fait souffrir. Contre tout le monde et personne, en vérité. Lorsque tu contemplais l'abîme, il ne te renvoyait que l'image d'un chien enragé.
Et puis, ça t'allait très bien. Tu as pourtant essayé de devenir quelqu'un. Et regarde à quoi ça t'a mené : à rien. Après tout, tu n'en as découvert que trop tard le secret. Pour s'élever, il faut d'abord tous les écraser.
Mais pour cela, il te fallait revenir sur le continent. Chose délicate, lorsqu'on a été banni ici par tous les gouvernements. Mais enfin, depuis quand allais-tu t'écraser devant la loi ? Il était temps de redevenir un pirate sans foi.
Et ça tombait bien, car en voil0 un juste devant toi. Pour toi, c'était une occasion que tu ne devais pas laisser filer entre tes doigts. Peut6être était6ce à cause de la pénombre. Peut6être était6ce a cause des années qui ont passé, ou de l'opération qui était risquée. Mais ce bateau, tu ne l'as pas reconnu. Celui sur lequel tu es parti en mission, celui dont le capitaine vogue sur les mers de toutes nations. Celui de Zacharia.
Alors tu y es monté, clandestinement. Et tu pensais t'être bien caché, même si tu es plutôt imposant. Et puis si on te trouvait... Tu pouvais toujours les menacer ou les éclater. C'est que tu étais confiant, en tes capacités.
Peut-être trop confiant, justement.
Car tu n'étais pas aussi discret que tu ne le croyais. Car ils n'étaient pas aussi faibles que tu ne le croyais. A l'instant où ils t'ont trouvé, tu as fini assommé.
Toi qui pensais les piéger, tu as sauté dans la gueule du loup tout entier.
Ils n'y sont pas allés de main morte : tu ne sens absolument rien. Tu ne te réveilles même pas lorsqu'ils te passent les liens.
Mais le sceau d'eau glacée fait bien le travail. Tu es brutalement arraché à l'inconscience, et tu y réponds tout aussi brutalement. Tu essaies aussitôt de te redresser, de répondre à cette agression éhontée. C'est alors que tu remarques que tu es attaché. C'est alors que tu réalises que ton infiltration, tu l'as échouée.
Zacharia
Si Lucarion n'a pas eu ta peau, je ne me vois pas le faire à sa place... Mais tu as quand même de l'audace, de penser que tu peux m'échapper sur mon propre bateau. N'as-tu pas reconnu mon pavillon ? Ou m'as tu déjà oublié, Seris ?
Tu redresses la tête, pour que tu le voies. Même si tu avais déjà reconnu sa voix. Une voix qui charriait avec elle des années en mer. Une voix qui te ramenait des années en arrière.
Zacharia Onech.
Tu te souviens d'un capitaine sérieux et fier. Tu te souviens d'un capitaine charismatique qui va droit au but. Un comportement qui avait valu ton respect, en plus de devenir temporairement alliés. Tu n'aimes pas ceux qui utilisaient de faux semblants pour sympathiser. Et c'est donc lui que tu as essayé de tromper. Ha !
Ces divinités pathétiques avaient sans doute envie de jouer avec toi.
Seris
N'ayez crainte, j'ai une très bonne mémoire, Capitaine Onech. Quel plaisir de vous savoir toujours naviguant sur les flots les plus impitoyables. Je vois que vous vous souvenez de moi, j'en serais presque flatté...
En vérité, s'il ne t'avait pas reconnu, tu aurais été vexé.
Seris
Je voulais vous mettre au défi en m'infiltrant sans me faire repérer. Je suis ravi de voir que les années n'ont pas émoussé votre équipage.
Gamin provocateur. Tu avais toujours été chahuteur. Même si tu te trouves face à des hommes prêts à te crever le cœur. Après tout, tu as toujours flirté avec la mort.
Mais pour une fois, tu n'es pas venu ici en ennemi. Car tu ne peux pas te sortir seul d'ici. Le Capitaine Onech était le seul sur qui tu pouvais compter. Tout marin que tu es, tu te sais incapable de naviguer sur cette mer.
Seris
Mais je ne suis pas venu ici en ennemi. Simplement comme un vulgaire criminel de Lucarion, qui a sauté sur une occasion.
Tu es brutalement honnête, et atrocement fier. Inutile d'embellir la vérité lorsque celle ci était si vulgaire.
Décidément, même pieds et poings liés, tu ne manques pas d'air.
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Zacharia Onech
Entre Chien et Loup
Tu ne peux t'empêcher de sourire en coin, amusé par l'outrecuidance de cet idiot.
Non, pour rien au monde, tu ne l'aurais voulu dans ton équipage, pourtant, tu ressentais un certain plaisir à le voir encore en vie. Le propre d'un capitaine était de connaître profondément son équipage, de comprendre les rapports de force, les amitiés comme les rivalités... Les eaux les plus traîtres ne pouvaient couler la Sereine, ton navire amiral où vous vous trouviez en ce moment même, bien sûr, mais en matière de relations humaines, où tu n'étais pas moins vulnérable qu'un autre, tu préférais toujours naviguer en eaux claires. La relation de Seris et d'Archibald était déjà alors teintée de colère, de haine dissimulée...
Au fond de toi, tu pensais que Seris n'était pas mauvais. Tu ne pouvais pas en dire autant d'Archibald.
D'un mouvement de la main, l'un de tes assassins se dirige vers le chien fou, et commence à le détacher.
"Tu es un petit con. Mais tu me seras plus utile libre qu'attaché au fond d'une cale. Tu connais les règles et tout le toutim... Ne fais rien d'idiot, et on te déposera à notre prochaine escale. Déconne, et je m'assure qu'on t'attache à nouveau, avant de te jeter à la mer. Oh, je suis sûr que tu trouveras des choses très intéressantes au fond de la mer, mais pas sûr que tu aies le temps d'en parler à l'Hermite. Allez, lève-toi, et suis-moi. Il y'a des choses dont on doit discuter."
En quelques pas, ils se retrouvent sur le pont. A dire vrai, ce n'est pas ce navire là que Seris a déjà connu... Tu crois bien que c'est le Fulgurant que tu as utilisé, alors. Les détails n'ont pas d'importance. Ce n'est pas ton navire le plus simple à naviguer, mais c'est en revanche celui avec le plus de chances de survivre à une traversée. Tu laisses un instant à Seris le loisir d'observer ton bâtiment, peut être par compassion, peut être par excès de fierté, avant de lui faire signe de te suivre, et d'aller dans ta cabine. Là, tu t'installes derrière un grand bureau cloué au plancher, pose tes bottes sur son dessus, et reprend la parole.
"Je ne suis pas étonné d'apprendre que tu as fini à Lucarion. C'est le genre de choses qui arrive à des gens comme toi, à vrai dire, bien que je préfère la planche... Mais plus important. Il y'avait une femme, avec toi, non ? Qu'est elle devenue ? Je devrais pouvoir te trouver la position d'Archibald, une fois à quai..."
Non, pour rien au monde, tu ne l'aurais voulu dans ton équipage, pourtant, tu ressentais un certain plaisir à le voir encore en vie. Le propre d'un capitaine était de connaître profondément son équipage, de comprendre les rapports de force, les amitiés comme les rivalités... Les eaux les plus traîtres ne pouvaient couler la Sereine, ton navire amiral où vous vous trouviez en ce moment même, bien sûr, mais en matière de relations humaines, où tu n'étais pas moins vulnérable qu'un autre, tu préférais toujours naviguer en eaux claires. La relation de Seris et d'Archibald était déjà alors teintée de colère, de haine dissimulée...
Au fond de toi, tu pensais que Seris n'était pas mauvais. Tu ne pouvais pas en dire autant d'Archibald.
D'un mouvement de la main, l'un de tes assassins se dirige vers le chien fou, et commence à le détacher.
"Tu es un petit con. Mais tu me seras plus utile libre qu'attaché au fond d'une cale. Tu connais les règles et tout le toutim... Ne fais rien d'idiot, et on te déposera à notre prochaine escale. Déconne, et je m'assure qu'on t'attache à nouveau, avant de te jeter à la mer. Oh, je suis sûr que tu trouveras des choses très intéressantes au fond de la mer, mais pas sûr que tu aies le temps d'en parler à l'Hermite. Allez, lève-toi, et suis-moi. Il y'a des choses dont on doit discuter."
En quelques pas, ils se retrouvent sur le pont. A dire vrai, ce n'est pas ce navire là que Seris a déjà connu... Tu crois bien que c'est le Fulgurant que tu as utilisé, alors. Les détails n'ont pas d'importance. Ce n'est pas ton navire le plus simple à naviguer, mais c'est en revanche celui avec le plus de chances de survivre à une traversée. Tu laisses un instant à Seris le loisir d'observer ton bâtiment, peut être par compassion, peut être par excès de fierté, avant de lui faire signe de te suivre, et d'aller dans ta cabine. Là, tu t'installes derrière un grand bureau cloué au plancher, pose tes bottes sur son dessus, et reprend la parole.
"Je ne suis pas étonné d'apprendre que tu as fini à Lucarion. C'est le genre de choses qui arrive à des gens comme toi, à vrai dire, bien que je préfère la planche... Mais plus important. Il y'avait une femme, avec toi, non ? Qu'est elle devenue ? Je devrais pouvoir te trouver la position d'Archibald, une fois à quai..."
Entre Chien et Loup ft. Seris