Bienvenue sur Nymlerith
COntextE
Voilà vingt ans que les dieux demeurent silencieux. Même le Père de l'Aube, cette immense montagne qui dominait Nymlerith et dont le fanal illuminait les cieux, s'est éteint. Depuis lors, le monde est en proie aux conflits. Pourtant, une lueur d'espoir semble renaître avec l'apparition de nouveaux légataires de l'Œil Divin. On raconte qu'un porteur qui serait capable de gravir le Père de l'Aube pourrait atteindre une forme de divinité. Pourquoi pas vous ?
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Voici les liens vers les annexes du forum. Comme nous sommes encore en pleine phase de travaux, ne soyez pas surpris si certaines sections vous redirigent vers la page du Compendium, tandis que d'autres mènent directement aux annexes. Nous avons estimé qu'il serait plus pratique pour vous de commencer à naviguer dès maintenant, même si certains éléments sont encore en cours de finalisation.
De l'or pour habit - Ft • Adrian Hresvaelgr
Mirror of Magic :: Le Continent de Nym :: Les Landes de Meridiem :: Le Regard du Roi :: La Grande Cité de Rivellon :: La Citadelle Royale
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Batarde meridienne et premier-hommeMétier :
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Iliana Grain - The Villainess Tames The BeastPotentiel :
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{"prez":"https://mirrorofmagic.forumactif.com/t145-pour-vivre-heureux-viv","oeilDivin":"1"}Mishka Steindall
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Mishka Steindall
De l'or pour habit“Un soleil n'éclipse pas un soleil. Un soleil n'est jamais éclipsé que par des lunes.”
L’aiguille perce le tissu, le fil coulisse se tend et on recommence, on pique, on tire. Il y a dans ses mouvements répétitifs quelque chose de relaxant. Sanctaidd n’est pas d’accord il se fait chier ! Toi, ça t’apaise, car c’est assez prenant pour ne pas avoir en tête les images d’horreur qui te hantent. Tu es tout à ton ouvrage quand la porte s’ouvre brusquement te faisant sursauter. Tout de suite ton corps conditionné se tend et tu ne sens même pas l'aiguille que tu t’es plantée dans le doigt. On te demande d’aller voir le prince Adrian pour prendre ses mesures, il aura bientôt un bal et il faut lui confectionner une nouvelle tenue. Tu clignes plusieurs fois des yeux, un peu dépassée par la demande.
Mais on te presse de faire ton travail, aussi tu te lèves pour aller dans le bureau du prince. Tu ignores totalement où ça se trouve d’ailleurs enfin en vrai tu sais où ça n’est pas. C’est à dire que clairement il y a peu de chance pour qu’il se trouve à côté des quartiers des domestiques. Aussi tu décides de t’en éloigner en ayant sous le bras ton nécessaire à couture et des échantillons de tissus sous le bras. Quand tu arrives dans ce que tu supposes être les quartiers royaux, tu décides de demander ton chemin. Ton regard croise celui d’un garde et un frisson te parcours l’échine, tu vas bien trouver une femme de ménage dans le coin. Tu trottines pour t’éloigner du garde, en essayant vainement de te convaincre que tu n’as pas du tout peur de lui. Ton colocataire se fout bien de ta gueule, mais tu as l’habitude.
Tu cavales dans les couloirs richement décorés, en te tenant à distance raisonnable (selon toi des gardes). Finalement tu croises une domestique et lui demande ton chemin, tu es partie complètement à l’opposé de là où tu devais aller du coup faut que tu fasses demi-tour. Chose qui amuse grandement ton démon. L’endroit est magnifique, il n’y a pas à dire, mais qu’est ce que c’est ridiculement grand… Tu peux comprendre que les premiers-hommes aient besoin de beaucoup de hauteur sous plafond, mais ici à part te faire perdre vingt minutes juste pour retourner à ton point de départ tu n’en vois pas trop l’intérêt. Tu soupires et reprends ta marche pour arriver à la porte du bureau de son altesse, le prince. Il te faut bien du courage pour lever le bras et frapper à la porte du futur monarque.
Mais on te presse de faire ton travail, aussi tu te lèves pour aller dans le bureau du prince. Tu ignores totalement où ça se trouve d’ailleurs enfin en vrai tu sais où ça n’est pas. C’est à dire que clairement il y a peu de chance pour qu’il se trouve à côté des quartiers des domestiques. Aussi tu décides de t’en éloigner en ayant sous le bras ton nécessaire à couture et des échantillons de tissus sous le bras. Quand tu arrives dans ce que tu supposes être les quartiers royaux, tu décides de demander ton chemin. Ton regard croise celui d’un garde et un frisson te parcours l’échine, tu vas bien trouver une femme de ménage dans le coin. Tu trottines pour t’éloigner du garde, en essayant vainement de te convaincre que tu n’as pas du tout peur de lui. Ton colocataire se fout bien de ta gueule, mais tu as l’habitude.
Tu cavales dans les couloirs richement décorés, en te tenant à distance raisonnable (selon toi des gardes). Finalement tu croises une domestique et lui demande ton chemin, tu es partie complètement à l’opposé de là où tu devais aller du coup faut que tu fasses demi-tour. Chose qui amuse grandement ton démon. L’endroit est magnifique, il n’y a pas à dire, mais qu’est ce que c’est ridiculement grand… Tu peux comprendre que les premiers-hommes aient besoin de beaucoup de hauteur sous plafond, mais ici à part te faire perdre vingt minutes juste pour retourner à ton point de départ tu n’en vois pas trop l’intérêt. Tu soupires et reprends ta marche pour arriver à la porte du bureau de son altesse, le prince. Il te faut bien du courage pour lever le bras et frapper à la porte du futur monarque.
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{"prez":"https://mirrorofmagic.forumactif.com/t2-modele-de-presentation","oeilDivin":"7"}Adrian Hresvaelgr
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Adrian Hresvaelgr
De l'or pour habit
Ft. Mishka Steindall
Ouvertes sur les jardins, les hautes fenêtres de l'appartement princier offraient une vue imprenable sur le parc paysager du palais. Les arbres étaient en fleurs. Rosiers, hortensias, azalées s'épanouissaient en parterres colorés et parfaitement entretenus par des mains dévouées. L'image était belle, idyllique pour un regard non accoutumé à la contemplation de ces merveilles joliment taillées et précieusement gardées à l'abri d'yeux indiscrets. L'image était belle, vraiment, pour celui qui ne se sentait pas comme un prisonnier entre ses murs tapissés de luxe et de splendeurs du château. Pourtant, la beauté des jardins tout comme l'opulence des lieux qu'il habitait devaient suppléer au manque de liberté. Dehors, buissons et fleurs s'organisaient comme un tableau enchanteur, quand à l'intérieur du castel tout concourait à satisfaire aux exigences d'un statut normalement privilégié.
Hauts plafonds peints de précieux décors, ornementés de moulures et historiés d'arabesques, mosaïques scintillantes, porcelaine, parquet lustré, tableaux, bibelots, miroirs, et vases dorés, chacun de ces éléments qui faisaient le quotidien du Prince héritier de Meridiem devait le rendre unique. Parce qu'Adrian Hresvaelgr n'était plus seulement le fils de l'homme le plus fort du monde, parce qu'il n'était plus uniquement le fruit de son union avec l'ancienne Haute-Prêtresse d'Ul'Atarax, mais parce qu'il était désormais le porteur d'un Oeil Divin aussi extraordinaire qu'exceptionnel. Un Oeil Divin que les historiens affirmaient tout à la fois mystérieux et irremplaçable. Un Oeil Divin qui le mettait au rang d'une cible et qui laissait ses parents toujours plus anxieux de le voir périr sous les coups d'un ennemi déclaré ou non.
Ainsi, Adrian voyait ses jours s'écrire sans qu'il ne puisse plus imaginer leur déroulement autrement que dans la mesure. Surveillé, choyé et surprotégé, il demeurait confiné. Séquestré dans un cocon d'airain qui devait le garder à l'abri de tout et de tous. Personne ne pouvait plus l'approcher sans qu'un garde ne s'inquiète de la présence d'une arme. L'on contrôlait, fouillait, interrogeait et listait chacun des acteurs du quotidien du Prince. L'on s'alarmait à la moindre irrégularité et l'on suspectait chaque nouvelle personne d'avoir un intérêt à nuire au royaume et à son Dauphin.
Aussi, lorsque le visage inconnu d'une jeune femme apparut à l'ouverture des portes de l'appartement princier, toutes les personnes déjà présentes dans la vaste pièce (rien qu'une demi-douzaine) se figèrent. Il n'était pas question de prendre le moindre risque. Pas lorsque l'héritier du trône se tenait là, debout au milieu du salon aménagé pour l'occasion en cabine d'essayage. Et cependant que tous les regards se tournaient vers la nouvelle arrivante, cependant qu'un garde déjà s'avançait vers elle pour la soumettre à son contrôle inquisiteur, la voix du jeune héritier interrogea.
"C'est elle ?"
Tout occupé à tournoyer autour du prince meridien, le tailleur royal voulu d'abord se hisser sur la pointe des pieds pour jeter un coup d'oeil en direction de la porte. Malheureusement trop petit pour voir par-dessus l'épaule du demi-elfe, il se pencha sur le côté pour aviser Mishka d'un oeil revanchard. Quelque chose dans son allure voulait dire sa pensée agacée, alors qu'il fixait la jeune femme.
"Oui, votre Altesse. C'est elle... Mishka Steindall... Mais je vous assure qu'il n'est pas néce..."
Interrompu dans sa tirade par la main relevée du Prince, le tailleur baissa la tête avant de s'incliner. Il recula de quelques pas afin de lui permettre de descendre du piédestal sur lequel il se tenait toujours dos à l'entrée.
"Laissez-la passer." Ordonna Adrian, avant d'enfin se retourner vers Mishka. Un sourire bienveillant aux lèvres, il l'invita à le rejoindre. "Venez Mademoiselle Steindall, approchez. N'ayez crainte. Il n'est pas question, ni de vous juger, ni de vous blâmer. Bien au contraire."
Tendant la main en direction du couturier du palais, Adrian parut attendre quelques instants pendant que l'artisan - assurément vexé - s'en venait fusiller sa subalterne du regard. Quelque chose l'avait contrarié, cela ne faisait aucun doute, mais s'il avait l'air soudainement mauvais, l'habilleur finit par céder à l'injonction silencieuse du Prince en plaçant une étoffe brodée dans la paume qu'il gardait relevée vers lui.
"Est-ce là votre travail Mademoiselle ? Monsieur Fierenz m'assure qu'il a supervisé et guidé chacun des points qui rendent cette broderie remarquable. J'entends néanmoins qu'il a besoin du concours de ses... petites-mains, pour accomplir toutes les tâches que lui impose la préparation d'un prochain bal. Je souhaite donc que vous l'assistiez dès à présent et très officiellement dans la confection de ma tenue."
Au regard que l'héritier meridien avait glissé en direction du tailleur royal, il était évident que ce dernier avait manqué de correction lorsqu'il avait mentionné ses subordonnés. Pour autant, Adrian ne chercha pas à s'attarder sur ce comportement qu'il avait d'ores et déjà condamné en faisant appeler Mishka. Il patienta donc, le temps que la jeune femme récupère l'étoffe dans sa main et retourna aussitôt sur le podium qu'il avait précédemment déserté.
"Vous en sentez-vous capable, Mademoiselle Steindall ?" Une nouvelle fois, ses yeux d'or se posèrent sur la couturière.
Ouvertes sur les jardins, les hautes fenêtres de l'appartement princier offraient une vue imprenable sur le parc paysager du palais. Les arbres étaient en fleurs. Rosiers, hortensias, azalées s'épanouissaient en parterres colorés et parfaitement entretenus par des mains dévouées. L'image était belle, idyllique pour un regard non accoutumé à la contemplation de ces merveilles joliment taillées et précieusement gardées à l'abri d'yeux indiscrets. L'image était belle, vraiment, pour celui qui ne se sentait pas comme un prisonnier entre ses murs tapissés de luxe et de splendeurs du château. Pourtant, la beauté des jardins tout comme l'opulence des lieux qu'il habitait devaient suppléer au manque de liberté. Dehors, buissons et fleurs s'organisaient comme un tableau enchanteur, quand à l'intérieur du castel tout concourait à satisfaire aux exigences d'un statut normalement privilégié.
Hauts plafonds peints de précieux décors, ornementés de moulures et historiés d'arabesques, mosaïques scintillantes, porcelaine, parquet lustré, tableaux, bibelots, miroirs, et vases dorés, chacun de ces éléments qui faisaient le quotidien du Prince héritier de Meridiem devait le rendre unique. Parce qu'Adrian Hresvaelgr n'était plus seulement le fils de l'homme le plus fort du monde, parce qu'il n'était plus uniquement le fruit de son union avec l'ancienne Haute-Prêtresse d'Ul'Atarax, mais parce qu'il était désormais le porteur d'un Oeil Divin aussi extraordinaire qu'exceptionnel. Un Oeil Divin que les historiens affirmaient tout à la fois mystérieux et irremplaçable. Un Oeil Divin qui le mettait au rang d'une cible et qui laissait ses parents toujours plus anxieux de le voir périr sous les coups d'un ennemi déclaré ou non.
Ainsi, Adrian voyait ses jours s'écrire sans qu'il ne puisse plus imaginer leur déroulement autrement que dans la mesure. Surveillé, choyé et surprotégé, il demeurait confiné. Séquestré dans un cocon d'airain qui devait le garder à l'abri de tout et de tous. Personne ne pouvait plus l'approcher sans qu'un garde ne s'inquiète de la présence d'une arme. L'on contrôlait, fouillait, interrogeait et listait chacun des acteurs du quotidien du Prince. L'on s'alarmait à la moindre irrégularité et l'on suspectait chaque nouvelle personne d'avoir un intérêt à nuire au royaume et à son Dauphin.
Aussi, lorsque le visage inconnu d'une jeune femme apparut à l'ouverture des portes de l'appartement princier, toutes les personnes déjà présentes dans la vaste pièce (rien qu'une demi-douzaine) se figèrent. Il n'était pas question de prendre le moindre risque. Pas lorsque l'héritier du trône se tenait là, debout au milieu du salon aménagé pour l'occasion en cabine d'essayage. Et cependant que tous les regards se tournaient vers la nouvelle arrivante, cependant qu'un garde déjà s'avançait vers elle pour la soumettre à son contrôle inquisiteur, la voix du jeune héritier interrogea.
"C'est elle ?"
Tout occupé à tournoyer autour du prince meridien, le tailleur royal voulu d'abord se hisser sur la pointe des pieds pour jeter un coup d'oeil en direction de la porte. Malheureusement trop petit pour voir par-dessus l'épaule du demi-elfe, il se pencha sur le côté pour aviser Mishka d'un oeil revanchard. Quelque chose dans son allure voulait dire sa pensée agacée, alors qu'il fixait la jeune femme.
"Oui, votre Altesse. C'est elle... Mishka Steindall... Mais je vous assure qu'il n'est pas néce..."
Interrompu dans sa tirade par la main relevée du Prince, le tailleur baissa la tête avant de s'incliner. Il recula de quelques pas afin de lui permettre de descendre du piédestal sur lequel il se tenait toujours dos à l'entrée.
"Laissez-la passer." Ordonna Adrian, avant d'enfin se retourner vers Mishka. Un sourire bienveillant aux lèvres, il l'invita à le rejoindre. "Venez Mademoiselle Steindall, approchez. N'ayez crainte. Il n'est pas question, ni de vous juger, ni de vous blâmer. Bien au contraire."
Tendant la main en direction du couturier du palais, Adrian parut attendre quelques instants pendant que l'artisan - assurément vexé - s'en venait fusiller sa subalterne du regard. Quelque chose l'avait contrarié, cela ne faisait aucun doute, mais s'il avait l'air soudainement mauvais, l'habilleur finit par céder à l'injonction silencieuse du Prince en plaçant une étoffe brodée dans la paume qu'il gardait relevée vers lui.
"Est-ce là votre travail Mademoiselle ? Monsieur Fierenz m'assure qu'il a supervisé et guidé chacun des points qui rendent cette broderie remarquable. J'entends néanmoins qu'il a besoin du concours de ses... petites-mains, pour accomplir toutes les tâches que lui impose la préparation d'un prochain bal. Je souhaite donc que vous l'assistiez dès à présent et très officiellement dans la confection de ma tenue."
Au regard que l'héritier meridien avait glissé en direction du tailleur royal, il était évident que ce dernier avait manqué de correction lorsqu'il avait mentionné ses subordonnés. Pour autant, Adrian ne chercha pas à s'attarder sur ce comportement qu'il avait d'ores et déjà condamné en faisant appeler Mishka. Il patienta donc, le temps que la jeune femme récupère l'étoffe dans sa main et retourna aussitôt sur le podium qu'il avait précédemment déserté.
"Vous en sentez-vous capable, Mademoiselle Steindall ?" Une nouvelle fois, ses yeux d'or se posèrent sur la couturière.
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Mishka Steindall
De l'or pour habit“Un soleil n'éclipse pas un soleil. Un soleil n'est jamais éclipsé que par des lunes.”
A force de passer du temps dans le palais, tu finis par te demander si tout ce qui était beau en ce monde était forcément grand ? Le décor était magnifique autour de toi. Les tapis somptueux, les toiles magnifiques, les vases et leurs bouquets éblouissants. Un faste rayonnant. Et même si ça fait mal de le reconnaître, ton immense bourreau était beau… du moins physiquement. Tu croises un miroir alors que tu arpentes le couloir, ton reflet te rappelle combien tu es petite et de surcroît laide… est ce que tout ce qui est petit est laid ? Rapidement, tu détournes le regard et presse le pas.
Ta destination atteinte, tu fais une révérence pour saluer son altesse présente. Il demande à quelqu'un si : c’est elle, force est de constater avec ces simples mots qu’il y a pas de gens de présent dans la pièce et qu’il ne s’adresse pas à toi à cette instant.
“ - Je salue le petit soleil du royaume, que le soleil brille toujours sur Meridiem.”
Tu prononces les mots d’une voix audible mais tu ne cherches clairement pas à être entendu outre mesure. C’est une phrase que tu as appris par cœur, il n’était pas sûr que tu croises un jour le roi ou ses fils, mais il était mieux de le savoir au cas où. Tu ne faisais donc que répéter ce qu’on t’avait dit de dire. Ton regard croise celui du tailleur alors que tu te redresses, visiblement il n’est pas très content de te voir. Tu aimerais un peu mieux comprendre la situation, tu n’as fait que ce qu’on te demandait alors pourquoi il te regarde comme ça lui ?
Des hommes s’approchent de toi, sûrement pour te fouiller, chose qui arrive de temps en temps quand tu entre dans un endroit autre que l’atelier des couturières question de sécurité. Tu n’aimes pas ça mais tu reste le plus imperturbable possible alors qu’ils ne sont plus qu’à un mètre. Ta nuque te fait souffrir tellement tu es tendue à cet instant. Le prince ordonne heureusement qu’on te laisse tranquille et tu es soulagée.
Soulagement de courte durée car il demande de t’approcher. Tu avais espéré une seconde qu’on te renvoie à l’atelier sans rien te demander de plus, car il y avait erreur. Hélas non, aussi tu t'exécutes rapidement. Il ne faut jamais faire attendre un homme, tu approches donc du prince alors qu’au contrario le tailleur s’écarte l’air renfrogné. L’héritier remonte sur son piédestal et te tend un bout de tissu brodé. Et t’explique qu’il n’est pas très satisfait du fait que le tailleur ait demandé de l’aide pour faire son travail. Il est un peu embêtant de faire intervenir plusieurs brodeuses sur un même ouvrage, car même si elles suivent un modèle donné elles ont chacune leur manière de faire tel ou tel point. Ce qui fait que l’on peut savoir avec facilité qui a brodé quoi. Tu te penches sur le tissu pour regarder plus en détail les points pour répondre à sa question et tu es un peu surprise parce que tu as sous les yeux.
“ - Oui, c’est moi qui ai brodé cette partie du tissu.”
Tu as un petit frisson, tu sens sur ta nuque le regard de ton collègue mis à l’écart. Il est à craindre qu’il te le fasse payer. Tu aurais bien ajouté qu’il n’avait en aucun supervisé cette broderie, car il s’agit d’un bout d’un échantillon test. Le motif est inspiré d’halogia, tu y as apporté une légèreté meridiem.
“ - Ce sera un honneur votre Altesse. Est-ce ce motif que vous désirez ou puis-je vous montrer d'autres possibilités ? ”
Tu apprécierais le faire changer d’idée, tu n’aimerais pas qu’un halogien demande au prince qui lui a brodé ça.
Ta destination atteinte, tu fais une révérence pour saluer son altesse présente. Il demande à quelqu'un si : c’est elle, force est de constater avec ces simples mots qu’il y a pas de gens de présent dans la pièce et qu’il ne s’adresse pas à toi à cette instant.
“ - Je salue le petit soleil du royaume, que le soleil brille toujours sur Meridiem.”
Tu prononces les mots d’une voix audible mais tu ne cherches clairement pas à être entendu outre mesure. C’est une phrase que tu as appris par cœur, il n’était pas sûr que tu croises un jour le roi ou ses fils, mais il était mieux de le savoir au cas où. Tu ne faisais donc que répéter ce qu’on t’avait dit de dire. Ton regard croise celui du tailleur alors que tu te redresses, visiblement il n’est pas très content de te voir. Tu aimerais un peu mieux comprendre la situation, tu n’as fait que ce qu’on te demandait alors pourquoi il te regarde comme ça lui ?
Des hommes s’approchent de toi, sûrement pour te fouiller, chose qui arrive de temps en temps quand tu entre dans un endroit autre que l’atelier des couturières question de sécurité. Tu n’aimes pas ça mais tu reste le plus imperturbable possible alors qu’ils ne sont plus qu’à un mètre. Ta nuque te fait souffrir tellement tu es tendue à cet instant. Le prince ordonne heureusement qu’on te laisse tranquille et tu es soulagée.
Soulagement de courte durée car il demande de t’approcher. Tu avais espéré une seconde qu’on te renvoie à l’atelier sans rien te demander de plus, car il y avait erreur. Hélas non, aussi tu t'exécutes rapidement. Il ne faut jamais faire attendre un homme, tu approches donc du prince alors qu’au contrario le tailleur s’écarte l’air renfrogné. L’héritier remonte sur son piédestal et te tend un bout de tissu brodé. Et t’explique qu’il n’est pas très satisfait du fait que le tailleur ait demandé de l’aide pour faire son travail. Il est un peu embêtant de faire intervenir plusieurs brodeuses sur un même ouvrage, car même si elles suivent un modèle donné elles ont chacune leur manière de faire tel ou tel point. Ce qui fait que l’on peut savoir avec facilité qui a brodé quoi. Tu te penches sur le tissu pour regarder plus en détail les points pour répondre à sa question et tu es un peu surprise parce que tu as sous les yeux.
“ - Oui, c’est moi qui ai brodé cette partie du tissu.”
Tu as un petit frisson, tu sens sur ta nuque le regard de ton collègue mis à l’écart. Il est à craindre qu’il te le fasse payer. Tu aurais bien ajouté qu’il n’avait en aucun supervisé cette broderie, car il s’agit d’un bout d’un échantillon test. Le motif est inspiré d’halogia, tu y as apporté une légèreté meridiem.
“ - Ce sera un honneur votre Altesse. Est-ce ce motif que vous désirez ou puis-je vous montrer d'autres possibilités ? ”
Tu apprécierais le faire changer d’idée, tu n’aimerais pas qu’un halogien demande au prince qui lui a brodé ça.
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Adrian Hresvaelgr
De l'or pour habit
Ft. Mishka Steindall
En dehors des événements qu'imposaient le protocole et la bienséance, Adrian n'avait que peu d'occasions de rencontrer de nouvelles personnes. Toujours entouré des mêmes domestiques, il demeurait enfermé dans un cocon sécuritaire que les mêmes gardes veillaient à rendre inaccessible. Ses parents espéraient ainsi le garder à l'abri des menaces extérieures, quand le peuple meridien attendait très probablement de le voir assumer ses responsabilités.
Alors installé sur le podium d'essayage qui, tel un scabellon, l'invitait à se tenir immobile, Adrian observait la jeune femme du coin de l'oeil. Elle avait l'air apeuré. Ses doigts pâles et tremblants effleuraient le tissu brodé pendant que Fierenz la fusillait du regard. Il était évident que le tailleur royal ne manquerait pas une occasion de la rabrouer. Il était furieux et très certainement vexé d'avoir été mis à l'écart au profit d'une couturière qu'il estimait être à son service. Aussi, lorsque l'opportunité de reprendre Mishka se présenta, Fierenz la saisit presque instantanément.
"Ah ! Ne soyez pas stupide Mademoiselle Steindall ! Ces motifs barbares ne peuvent convenir à Son Altesse Royale. Réfléchissez donc avant d'ouvrir la bouche." Il pinça les lèvres et se redressa pour afficher un air sévère. "Vous insultez Meridiem et son Prince."
Forçant le trait jusqu'à taper du pied, le tailleur en chef bomba le torse avant de se tourner vers l'héritier du trône. Ce dernier le fixait sans un mot.
"Je vous en prie, Votre Altesse Royale, veuillez pardonner sa bêtise à cette..." Il soupira avant de reprendre d'un air faussement navré. "... Mademosielle Steindall manque de discernement." Il s'inclina jusqu'à presque baiser les souliers du Dauphin.
Encore un instant silencieux, Adrian avait baissé les yeux vers le tailleur. S'il avait imaginé intervenir pour mettre un terme à cette mascarade, il se contenta d'arquer un sourcil, avant d'esquisser un sourire.
"Oh ? Vraiment ? Mademoiselle Steindall m'apparaît pourtant bien au fait de son art." Il jeta un bref coup d'oeil en direction de la principale intéressée, avant d'en revenir au couturier principal du palais. "Pensez-vous que je puisse me tromper ?"
En dehors des événements qu'imposaient le protocole et la bienséance, Adrian n'avait que peu d'occasions de rencontrer de nouvelles personnes. Toujours entouré des mêmes domestiques, il demeurait enfermé dans un cocon sécuritaire que les mêmes gardes veillaient à rendre inaccessible. Ses parents espéraient ainsi le garder à l'abri des menaces extérieures, quand le peuple meridien attendait très probablement de le voir assumer ses responsabilités.
Alors installé sur le podium d'essayage qui, tel un scabellon, l'invitait à se tenir immobile, Adrian observait la jeune femme du coin de l'oeil. Elle avait l'air apeuré. Ses doigts pâles et tremblants effleuraient le tissu brodé pendant que Fierenz la fusillait du regard. Il était évident que le tailleur royal ne manquerait pas une occasion de la rabrouer. Il était furieux et très certainement vexé d'avoir été mis à l'écart au profit d'une couturière qu'il estimait être à son service. Aussi, lorsque l'opportunité de reprendre Mishka se présenta, Fierenz la saisit presque instantanément.
"Ah ! Ne soyez pas stupide Mademoiselle Steindall ! Ces motifs barbares ne peuvent convenir à Son Altesse Royale. Réfléchissez donc avant d'ouvrir la bouche." Il pinça les lèvres et se redressa pour afficher un air sévère. "Vous insultez Meridiem et son Prince."
Forçant le trait jusqu'à taper du pied, le tailleur en chef bomba le torse avant de se tourner vers l'héritier du trône. Ce dernier le fixait sans un mot.
"Je vous en prie, Votre Altesse Royale, veuillez pardonner sa bêtise à cette..." Il soupira avant de reprendre d'un air faussement navré. "... Mademosielle Steindall manque de discernement." Il s'inclina jusqu'à presque baiser les souliers du Dauphin.
Encore un instant silencieux, Adrian avait baissé les yeux vers le tailleur. S'il avait imaginé intervenir pour mettre un terme à cette mascarade, il se contenta d'arquer un sourcil, avant d'esquisser un sourire.
"Oh ? Vraiment ? Mademoiselle Steindall m'apparaît pourtant bien au fait de son art." Il jeta un bref coup d'oeil en direction de la principale intéressée, avant d'en revenir au couturier principal du palais. "Pensez-vous que je puisse me tromper ?"
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Batarde meridienne et premier-hommeMétier :
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{"prez":"https://mirrorofmagic.forumactif.com/t145-pour-vivre-heureux-viv","oeilDivin":"1"}Mishka Steindall
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Mishka Steindall
De l'or pour habit“Un soleil n'éclipse pas un soleil. Un soleil n'est jamais éclipsé que par des lunes.”
La vie est injuste tu aimerais juste faire tes petits trucs dans ton coin sans qu’on t’embête. Être parfaitement invisible. Faudra-t-il pour ça que tu meurs ? Tu n’as pas la force nécessaire pour ça. Tu n’as donc pas le choix. On ne désobéit pas aux ordres d’un homme et d’autant plus quand ce dernier est supposé devenir roi. Le couturier fait sa tête de cochon, sautant sur l’opportunité de faire passer pour une idiote. Tu sais que tu as des lacunes. Mais lui ne l’est pas non plus beaucoup plus. Quand on est doué dans son domaine et qu’on n’en doute pas, jamais on ne traite les gens comme il le fait. Tu ne réponds pas au couturier, bien que Sanctaidd à très envie de le remettre à sa place. Maîtresse dans l’art de ne pas laisser paraître ton anxiété lorsque l’homme tape du pied tu clignes simplement des yeux. Ta respiration s’accélère légèrement. Il est pas bien gros, un coup ne ferait pas beaucoup de dégât. Le prince fait un va et vient entre toi et lui. Demandant s’il lui était possible de se tromper. Tu baisses humblement la tête en te penchant légèrement en avant pour répondre, bien que tu ne sois pas sûre que le prince s’adresse à toi étant donné son regard tourné vers le couturier à cet instant.
“ - Son altesse ne saurait se tromper ! Son altesse sait sûrement ce qui lui plaît ou non.” Tu jettes un coup d'œil furtif lui qui sous-entend que des motifs barbares ne pourraient plaire à son altesse. Voudrait aussi dire que le prince à des goûts barbares, ne convenant pas à Meridiem. Pour sûr, les halogiens ne sont pas des être raffinés et tu es d’accord sur le fait qu’ils sont barbares. Mais quand bien même tu le penses tout bas, tu ne le diras pas tout haut. Tu ne penses pas que le couturier sache que tu es métisse, mais tu te demandes pourquoi il a utilisé ce mot. A-t-il vu des motifs halogiens avant ? Où cherchait-il juste à te discréditer par tous les moyens ? Les gens d’ici cachent leur véritable pensée dans des paroles sucrées au possible et alambiquées. La franchise de ton bourreau te manquerait presque. Au moins tu savais à quoi t'en tenir. “ - Mon seul et unique travail est d'offrir à son altesse le choix de ce qui lui plaira le plus.”
Tu ne te redresses pas attendant simplement la suite des ordres. Après tout tu es une simple employée, la finalité ne dépend que du prince. En tout cas ça te fait plaisir tout au fond de toi que ce que tu fais plaises. Si jamais il décide de continuer avec le couturier ça t’ira tout aussi bien. Il y aura moins de chance d’avoir des représailles de la part du couturier, au pire tu risquerais de devoir recoudre pas mal de chaussettes pendant un certain temps. Sanctaidd pense qu’au contraire ça ne ferait pas de mal à ton égo d’avoir un travail d’une telle envergure. Puis lui rabattre son caquet à l’autre imbécile aussi ça ferait du bien à son moral à lui. Puis un gringalet comme ce type c’est pas bien risqué de taper dessus. Ça ne devrait pas être trop dangereux. Sanctaidd lâche ? Non prudent et il sait choisir ses adversaires.
“ - Son altesse ne saurait se tromper ! Son altesse sait sûrement ce qui lui plaît ou non.” Tu jettes un coup d'œil furtif lui qui sous-entend que des motifs barbares ne pourraient plaire à son altesse. Voudrait aussi dire que le prince à des goûts barbares, ne convenant pas à Meridiem. Pour sûr, les halogiens ne sont pas des être raffinés et tu es d’accord sur le fait qu’ils sont barbares. Mais quand bien même tu le penses tout bas, tu ne le diras pas tout haut. Tu ne penses pas que le couturier sache que tu es métisse, mais tu te demandes pourquoi il a utilisé ce mot. A-t-il vu des motifs halogiens avant ? Où cherchait-il juste à te discréditer par tous les moyens ? Les gens d’ici cachent leur véritable pensée dans des paroles sucrées au possible et alambiquées. La franchise de ton bourreau te manquerait presque. Au moins tu savais à quoi t'en tenir. “ - Mon seul et unique travail est d'offrir à son altesse le choix de ce qui lui plaira le plus.”
Tu ne te redresses pas attendant simplement la suite des ordres. Après tout tu es une simple employée, la finalité ne dépend que du prince. En tout cas ça te fait plaisir tout au fond de toi que ce que tu fais plaises. Si jamais il décide de continuer avec le couturier ça t’ira tout aussi bien. Il y aura moins de chance d’avoir des représailles de la part du couturier, au pire tu risquerais de devoir recoudre pas mal de chaussettes pendant un certain temps. Sanctaidd pense qu’au contraire ça ne ferait pas de mal à ton égo d’avoir un travail d’une telle envergure. Puis lui rabattre son caquet à l’autre imbécile aussi ça ferait du bien à son moral à lui. Puis un gringalet comme ce type c’est pas bien risqué de taper dessus. Ça ne devrait pas être trop dangereux. Sanctaidd lâche ? Non prudent et il sait choisir ses adversaires.
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Adrian Hresvaelgr
De l'or pour habit
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Le prince héritier observait la scène avec un mélange d'intérêt et de frustration. Il connaissait bien le couturier et ses manières acérées, toujours prompt à rabaisser les autres pour affirmer son autorité. Pourtant, ce qui le fascinait plus encore était la réaction de la jeune femme, cette couturière aux manières humbles, mais dignes. Ses mots avaient été choisis avec soin, il n'en doutait pas. Ainsi, lorsqu'elle affirmait que l'héritier du trône ne pouvait se tromper, elle entendait également s'affirmer car le Prince de Meridien savait effectivement ce qui lui plaisait ou non.
Adrian reporta son attention sur l'apprentie couturière et tandis qu'il la regardait avec plus d'attention, il nota tout ce que sa posture avait de particulier. Un positionnement humble, attentiste mais une attitude défensive. Il ne fallait pas s'y tromper, la jeune femme gardait les yeux baissés, mais elle n'en demeurait pas moins sur ses gardes. Le demi-elfe pouvait alors imaginer ce qu'elle devait ressentir d'anxiété. Pourtant devinait il également autre chose dans ce que son comportement avait de particulier. Mademoiselle Steindall disposait d'une réelle force intérieure et cette dernière lui permettait de tenir bon face à l'arrogance du couturier.
Quelque chose, cependant, l'amena à tressaillir et cependant qu'Adrian voyait les doigts de la jeune femme trembler, il nota le sourire satisfait du tailleur en chef accroché à ses lèvres. Il avait parlé de "motifs barbares" et ses mots résonnèrent en lui alors que ses origines à demi elfiques se voyaient régulièrement critiquées. Aussi, Adrian se demanda si le couturier avait conscience de l'offense potentielle de ces mots et cette réflexion le mit en colère tout autant qu'elle concourra à nourrir son propre malaise.
Décidément, la cour était un nid de serpents où chaque mot pouvait devenir une arme. Dire qu'il devait naviguer dans cet univers, afin d'y maintenir l'équilibre. Se décidant finalement à intervenir, le prince héritier hocha lentement la tête. Ses yeux se posèrent tour à tour sur la couturière et son supérieur. Il était temps de mettre un terme à cette joute verbale inutile et de clarifier sa position. Tout en prenant une profonde inspiration, il parla d'une voix claire et autoritaire.
"Il m'apparaît évident que chacun ici cherche à faire de son mieux pour répondre à mes attentes. Cependant, il est important de rappeler que le respect mutuel est la base de toute collaboration fructueuse." Son regard accrocha la silhouette du couturier. "Vos talents sont indéniables, mais je n'accepterai pas que l'on traite quiconque ici avec condescendance. Vous estimez ces motifs comme barbares ? Pour ma part, je les trouve intéressants. De plus, j'estime que la diversité enrichit notre royaume."
Il tourna ensuite son attention vers la jeune couturière, un sourire encourageant sur les lèvres. "Vous avez fait preuve de patience et de professionnalisme. J'apprécie votre dévouement et votre attention aux détails." D'un pas assuré, il descendit de son piédestal pour se placer entre les deux protagonistes. Il n'était donc plus question de nourrir la querelle entre les deux artisans. "Nous devons travailler ensemble pour atteindre l'excellence. Aussi, j'attends de chacun de vous une collaboration harmonieuse et respectueuse."
Avec un dernier regard appuyé en direction du tailleur royal, il enjoignit les couturiers à le suivre en prenant la direction d'une pièce attenante où se trouvaient rangés ses vêtements.
"Voici tout ce qui fait ma garde-robe. Costumes, chemises, vestes..." D'un geste de la main, il désigna les vêtements luxueux qui s'exposaient là dans de hautes armoires ouvertes. "... Je souhaite que ma prochaine tenue ne ressemble à aucune de celles que vous trouverez là. Il laissa les tailleurs digérer ses paroles, avant de reprendre. "Pour le bal à venir, je tiens à me présenter tel que je suis. Ma tenue devra donc refléter mon statut, c'est un fait, mais j'entends qu'elle fasse également référence à mes origines." Il marque une nouvelle pause afin que le tailleur royal réalise ce qu'il attendait de lui, cependant et afin que sa requête soit clairement comprise, il précisa. "Mon père est le Roi de Meridiem, mais ma mère est l'ancienne Haute-Prêtresse d'Ul'Atarax." Le couturier en chef pâlit. "Mademoiselle Steindall, je veux que vous vous chargiez de conjuguer ensemble nos motifs humains et elfiques pour leur rendre également justice. Si vous avez besoin d'inspiration pour vous aider dans ce travail, ma bibliothèque vous est ouverte." Un murmure parcourut la pièce alors que les autres personnels présents prenaient conscience de tout le privilège offert à cette presque inconnue. "Venez avec moi." Avec un encourageant sourire, il l'invita à lui emboiter le pas tandis qu'il se dirigeait vers ladite bibliothèque.
Le prince héritier observait la scène avec un mélange d'intérêt et de frustration. Il connaissait bien le couturier et ses manières acérées, toujours prompt à rabaisser les autres pour affirmer son autorité. Pourtant, ce qui le fascinait plus encore était la réaction de la jeune femme, cette couturière aux manières humbles, mais dignes. Ses mots avaient été choisis avec soin, il n'en doutait pas. Ainsi, lorsqu'elle affirmait que l'héritier du trône ne pouvait se tromper, elle entendait également s'affirmer car le Prince de Meridien savait effectivement ce qui lui plaisait ou non.
Adrian reporta son attention sur l'apprentie couturière et tandis qu'il la regardait avec plus d'attention, il nota tout ce que sa posture avait de particulier. Un positionnement humble, attentiste mais une attitude défensive. Il ne fallait pas s'y tromper, la jeune femme gardait les yeux baissés, mais elle n'en demeurait pas moins sur ses gardes. Le demi-elfe pouvait alors imaginer ce qu'elle devait ressentir d'anxiété. Pourtant devinait il également autre chose dans ce que son comportement avait de particulier. Mademoiselle Steindall disposait d'une réelle force intérieure et cette dernière lui permettait de tenir bon face à l'arrogance du couturier.
Quelque chose, cependant, l'amena à tressaillir et cependant qu'Adrian voyait les doigts de la jeune femme trembler, il nota le sourire satisfait du tailleur en chef accroché à ses lèvres. Il avait parlé de "motifs barbares" et ses mots résonnèrent en lui alors que ses origines à demi elfiques se voyaient régulièrement critiquées. Aussi, Adrian se demanda si le couturier avait conscience de l'offense potentielle de ces mots et cette réflexion le mit en colère tout autant qu'elle concourra à nourrir son propre malaise.
Décidément, la cour était un nid de serpents où chaque mot pouvait devenir une arme. Dire qu'il devait naviguer dans cet univers, afin d'y maintenir l'équilibre. Se décidant finalement à intervenir, le prince héritier hocha lentement la tête. Ses yeux se posèrent tour à tour sur la couturière et son supérieur. Il était temps de mettre un terme à cette joute verbale inutile et de clarifier sa position. Tout en prenant une profonde inspiration, il parla d'une voix claire et autoritaire.
"Il m'apparaît évident que chacun ici cherche à faire de son mieux pour répondre à mes attentes. Cependant, il est important de rappeler que le respect mutuel est la base de toute collaboration fructueuse." Son regard accrocha la silhouette du couturier. "Vos talents sont indéniables, mais je n'accepterai pas que l'on traite quiconque ici avec condescendance. Vous estimez ces motifs comme barbares ? Pour ma part, je les trouve intéressants. De plus, j'estime que la diversité enrichit notre royaume."
Il tourna ensuite son attention vers la jeune couturière, un sourire encourageant sur les lèvres. "Vous avez fait preuve de patience et de professionnalisme. J'apprécie votre dévouement et votre attention aux détails." D'un pas assuré, il descendit de son piédestal pour se placer entre les deux protagonistes. Il n'était donc plus question de nourrir la querelle entre les deux artisans. "Nous devons travailler ensemble pour atteindre l'excellence. Aussi, j'attends de chacun de vous une collaboration harmonieuse et respectueuse."
Avec un dernier regard appuyé en direction du tailleur royal, il enjoignit les couturiers à le suivre en prenant la direction d'une pièce attenante où se trouvaient rangés ses vêtements.
"Voici tout ce qui fait ma garde-robe. Costumes, chemises, vestes..." D'un geste de la main, il désigna les vêtements luxueux qui s'exposaient là dans de hautes armoires ouvertes. "... Je souhaite que ma prochaine tenue ne ressemble à aucune de celles que vous trouverez là. Il laissa les tailleurs digérer ses paroles, avant de reprendre. "Pour le bal à venir, je tiens à me présenter tel que je suis. Ma tenue devra donc refléter mon statut, c'est un fait, mais j'entends qu'elle fasse également référence à mes origines." Il marque une nouvelle pause afin que le tailleur royal réalise ce qu'il attendait de lui, cependant et afin que sa requête soit clairement comprise, il précisa. "Mon père est le Roi de Meridiem, mais ma mère est l'ancienne Haute-Prêtresse d'Ul'Atarax." Le couturier en chef pâlit. "Mademoiselle Steindall, je veux que vous vous chargiez de conjuguer ensemble nos motifs humains et elfiques pour leur rendre également justice. Si vous avez besoin d'inspiration pour vous aider dans ce travail, ma bibliothèque vous est ouverte." Un murmure parcourut la pièce alors que les autres personnels présents prenaient conscience de tout le privilège offert à cette presque inconnue. "Venez avec moi." Avec un encourageant sourire, il l'invita à lui emboiter le pas tandis qu'il se dirigeait vers ladite bibliothèque.
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Mishka Steindall
De l'or pour habit“Un soleil n'éclipse pas un soleil. Un soleil n'est jamais éclipsé que par des lunes.”
Ta survie tient du miracle, si tu possède une compétence autre que celle de coudre c’est peut-être la chance. La violence était ton quotidien. Qu’elle soit physique ou juste verbale. Une chance toute singulière car elle t’a mené à Sanctaidd qui t’a mené ici. Mais juste ça c’est déjà beaucoup pour toi. Malheureusement les conséquences de ton ancienne agonie sont lourdes à porter. Tu les caches à merveille quoique les tremblements soient un peu compliqués à complètement dissimuler. Le prince reprend la parole et Sanctaidd te somme de prendre une profonde inspiration ce qui calmera les tremblements au moins un peu. Hélas pour occire ton anxiété il faudra bien plus qu'une simple bouffée d’air. Tu conserves ta posture très humble, élégante mais surtout soumise. Le jeune homme remonte encore un peu les bretelles de ton supérieur, ce qui satisfait ton démon. Pour ta part tu es simplement heureuse de ne pas être à sa place. Tu le regardes discrètement en l’écoutant alors qu’une voix grave bien plus basse que celle de ton colocataire résonne dans ton esprit. “ - Il te plaît !?” Il habite ton être presque aussi vivace que Sanctaidd alors qu’il n’est rien de plus qu’un souvenir désincarné. À croire qu’il peut t’atteindre où que tu sois. Les paroles du démon deviennent lointaines, ce souvenir impalpable tu peux l’entendre sourire. Tu peux presque sentir sa large main sur ta hanche, tu baisses un peu plus la tête sans t’en rendre compte. Son ombre immense et lourde t’enveloppe. Un murmure inaudible passe tes lèvres réfutant ses mots, peut-être n’as tu même fait que le penser. À ce stade tu n’es sûre de rien après ça se passe surtout dans ta tête. “ - Je pourrais le casser en deux si facilement.” Il rit légèrement et tu as un petit frisson, tu as souvent confondu ce genre de chose avec de l’amour. Il t’aimait juste trop et tu n’étais pas assez bien pour qu’il ne s’énerve pas. Toi qui n’es même pas de sang pur halogien, la faible petite chose qui ne sait rien faire correctement. Quand bien même tu aurais eu mille ans à passer avec lui, jamais tu n’aurais été assez bien pour qu’il arrête. Un autre non se perd dans ta divagation. Non, quoi ? Tu ne veux pas qu’il le fasse ? Tu n’as pas voix au chapitre de toute façon il fera ce qu’il veut. Des autres et de toi. “ - Tu sais mon petit flocon que quand je te trouverais, je le tuerais. Je les tuerais tous et se sera ta faute mon flocon.” Il y a quelque chose de ronronnant et de dérangeant dans sa voix quand il prononce le mot flocon. C’est ainsi qu’il t’a toujours nommé car tu avais la pâleur et la fragilité d’un flocon de neige. Ton esprit se débat avec ce … souvenir ? cette hallucination ? Un autre non passe tes lèvres et en t’entendant parler tu reviens à toi. Et avec une cabriole pleine de finesse tu ajoutes des mots derrière ce non pour le justifier et ne pas passer pour une malade et aussi pour éviter le ridicule si on se rendait compte que tu n’avais pas tout écouté.
“ - Non… je ne pourrais jamais accepter un si grand honneur, votre altesse.”
L’autre raison était qu’il était parfaitement inutile de te donner accès à une bibliothèque car tu ne sais pas lire. Pas plus que tu ne sais écrire, tu es un enfant non désiré, né dans une cave. D’une mère séquestrée et d’un père violent qui n'avait rien à gagner à t’instruire. Si tu avais été grande et forte peut-être aurait-il posé un autre regard sur toi. Mais de facto tu n’existes pas. Tu n’avais même pas de prénom avant Sanctaidd. Quand tu lui as dit qu’on te nommait flocon il a refusé d’emblée de t’appeler comme ça ou qu’on l’appel ainsi par extension. Ton supérieur semble près à se jeter sur toi avoir rejeté ainsi l’opportunité si gracieusement offerte.
“ - Comment osez-vous petite sotte…”
“ - Ne vous méprenez pas mon prince, comme mon supérieur le fait. Le problème est que je ne sais pas lire votre altesse. Alors je serais bien incapable de me servir de vos livres. Mais si vous avez des échantillons de tissus, je vous promet que je peux reproduire n’importe quel motif.”
Tu es payée pour coudre pas pour faire des courriers ou lire. Le couturier semble agacé d'être une nouvelle fois ridiculisé, mais pour le coup ce n'est pas ta faute si tu ne sais pas lire. Ta position est encore un peu plus soumise, tes pieds ont l'air d'être fort intéressant à cet instant. Tu es un peu honteuse de l'avouer bien que tu n'y puisse rien.
“ - Non… je ne pourrais jamais accepter un si grand honneur, votre altesse.”
L’autre raison était qu’il était parfaitement inutile de te donner accès à une bibliothèque car tu ne sais pas lire. Pas plus que tu ne sais écrire, tu es un enfant non désiré, né dans une cave. D’une mère séquestrée et d’un père violent qui n'avait rien à gagner à t’instruire. Si tu avais été grande et forte peut-être aurait-il posé un autre regard sur toi. Mais de facto tu n’existes pas. Tu n’avais même pas de prénom avant Sanctaidd. Quand tu lui as dit qu’on te nommait flocon il a refusé d’emblée de t’appeler comme ça ou qu’on l’appel ainsi par extension. Ton supérieur semble près à se jeter sur toi avoir rejeté ainsi l’opportunité si gracieusement offerte.
“ - Comment osez-vous petite sotte…”
“ - Ne vous méprenez pas mon prince, comme mon supérieur le fait. Le problème est que je ne sais pas lire votre altesse. Alors je serais bien incapable de me servir de vos livres. Mais si vous avez des échantillons de tissus, je vous promet que je peux reproduire n’importe quel motif.”
Tu es payée pour coudre pas pour faire des courriers ou lire. Le couturier semble agacé d'être une nouvelle fois ridiculisé, mais pour le coup ce n'est pas ta faute si tu ne sais pas lire. Ta position est encore un peu plus soumise, tes pieds ont l'air d'être fort intéressant à cet instant. Tu es un peu honteuse de l'avouer bien que tu n'y puisse rien.
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Adrian Hresvaelgr
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Adrian observait la jeune couturière avec un intérêt sincère. Lorsqu'elle s'excusa humblement, avouant qu'elle ne savait pas lire, il fut surpris, mais non pas déçu. Il ne connaissait pas son histoire ni les épreuves qu'elle avait traversées, mais il voyait en elle un potentiel artistique remarquable. Ses broderies étaient déjà d'une finesse exceptionnelle, et il était convaincu que, avec un peu d'inspiration supplémentaire, elle pourrait atteindre de nouveaux sommets dans son art.
Il remarqua ses mains tremblantes et sa posture soumise, les yeux fixés sur le sol comme si elle cherchait à disparaître. Adrian sentit une pointe de compassion monter en lui. Il se dit qu'il devait trouver un moyen de la mettre à l'aise, de lui montrer qu'elle n'avait pas à se sentir honteuse.
"Ne vous inquiétez pas pour cela." Dit-il d'une voix douce et encourageante. "La lecture n'est pas nécessaire pour apprécier la beauté des motifs. J'ai ici des livres illustrés contenant des décorations elfiques magnifiques. Peut-être pourrions-nous les parcourir ensemble ? Les images pourraient vous inspirer pour vos prochaines créations."
Il fit un geste vers un serviteur, qui apporta immédiatement un ouvrage richement orné. Adrian l'ouvrit délicatement, révélant des pages remplies de motifs entrelacés, de fleurs délicates et de symboles anciens.
"Regardez ces dessins." Continua-t-il en tournant les pages lentement. "Je pense que votre talent pourrait donner vie à ces motifs d'une manière unique. Qu'en pensez-vous ?"
Il leva les yeux vers elle, cherchant un signe d'enthousiasme ou d'intérêt. Il espérait sincèrement qu'elle saisirait cette opportunité pour enrichir son art. Adrian n'avait aucune intention de la mettre mal à l'aise ou de la juger pour ce qu'elle ne savait pas. Son seul souhait était de soutenir une artiste prometteuse et de voir jusqu'où son talent pouvait la mener.
Le supérieur de la jeune femme semblait agacé, mais Adrian l'ignora. Il était important pour lui de créer un environnement où chacun pouvait s'épanouir sans crainte. Après tout, n'était-ce pas le rôle d'un bon prince de favoriser le développement des talents de son royaume ?
"Si vous le souhaitez..." Ajouta-t-il avec un sourire chaleureux. "...Nous pourrions organiser des séances où vous pourriez étudier ces motifs à votre rythme. Je suis certain que vos broderies en seront encore plus éblouissantes."
Adrian attendit sa réponse avec patience, espérant qu'elle accepterait sa proposition. Il était convaincu que, avec un peu d'encouragement, elle pourrait dépasser ses appréhensions et laisser libre cours à sa créativité. Et qui sait, peut-être que cette collaboration serait le début d'une nouvelle ère pour l'artisanat du royaume.
Adrian observait la jeune couturière avec un intérêt sincère. Lorsqu'elle s'excusa humblement, avouant qu'elle ne savait pas lire, il fut surpris, mais non pas déçu. Il ne connaissait pas son histoire ni les épreuves qu'elle avait traversées, mais il voyait en elle un potentiel artistique remarquable. Ses broderies étaient déjà d'une finesse exceptionnelle, et il était convaincu que, avec un peu d'inspiration supplémentaire, elle pourrait atteindre de nouveaux sommets dans son art.
Il remarqua ses mains tremblantes et sa posture soumise, les yeux fixés sur le sol comme si elle cherchait à disparaître. Adrian sentit une pointe de compassion monter en lui. Il se dit qu'il devait trouver un moyen de la mettre à l'aise, de lui montrer qu'elle n'avait pas à se sentir honteuse.
"Ne vous inquiétez pas pour cela." Dit-il d'une voix douce et encourageante. "La lecture n'est pas nécessaire pour apprécier la beauté des motifs. J'ai ici des livres illustrés contenant des décorations elfiques magnifiques. Peut-être pourrions-nous les parcourir ensemble ? Les images pourraient vous inspirer pour vos prochaines créations."
Il fit un geste vers un serviteur, qui apporta immédiatement un ouvrage richement orné. Adrian l'ouvrit délicatement, révélant des pages remplies de motifs entrelacés, de fleurs délicates et de symboles anciens.
"Regardez ces dessins." Continua-t-il en tournant les pages lentement. "Je pense que votre talent pourrait donner vie à ces motifs d'une manière unique. Qu'en pensez-vous ?"
Il leva les yeux vers elle, cherchant un signe d'enthousiasme ou d'intérêt. Il espérait sincèrement qu'elle saisirait cette opportunité pour enrichir son art. Adrian n'avait aucune intention de la mettre mal à l'aise ou de la juger pour ce qu'elle ne savait pas. Son seul souhait était de soutenir une artiste prometteuse et de voir jusqu'où son talent pouvait la mener.
Le supérieur de la jeune femme semblait agacé, mais Adrian l'ignora. Il était important pour lui de créer un environnement où chacun pouvait s'épanouir sans crainte. Après tout, n'était-ce pas le rôle d'un bon prince de favoriser le développement des talents de son royaume ?
"Si vous le souhaitez..." Ajouta-t-il avec un sourire chaleureux. "...Nous pourrions organiser des séances où vous pourriez étudier ces motifs à votre rythme. Je suis certain que vos broderies en seront encore plus éblouissantes."
Adrian attendit sa réponse avec patience, espérant qu'elle accepterait sa proposition. Il était convaincu que, avec un peu d'encouragement, elle pourrait dépasser ses appréhensions et laisser libre cours à sa créativité. Et qui sait, peut-être que cette collaboration serait le début d'une nouvelle ère pour l'artisanat du royaume.
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De l'or pour habit“Un soleil n'éclipse pas un soleil. Un soleil n'est jamais éclipsé que par des lunes.”
L’inquiétude est bien tout ce qu’il te reste. Tout ce qui te maintient en vie. Les remparts du château t'abritent et pourtant tu ne te sens pas en sécurité. Tu as l’impression qu’il tient le monde dans sa main et quand il se décidera enfin de la fermer il t’écrasera. Nul part tu ne seras vraiment libre, nul part tu seras en sécurité. Il faudrait qu’il meure pour te délivrer complètement de son joug ou bien… que tu meurs. Et la seconde option est sûrement la plus probable. Tu es si insignifiante à côté de lui, le monde même te paraît si ridicule à côté de tout ce qui t’inspire qu’il te semble qu’il pourrait brûler le monde juste avec son regard de braise. Ta sécurité est ta seule priorité, tu n’as pas vraiment le luxe d’avoir honte. Car oui tu sens quelques regards sur toi qui se demande comment tu peux oser dire ça tout haut au prince. Tu ne doutes pas qu’il y en a d'autres comme toi qui ne savent pas pour des raisons diverses et variées, mais tu doutes qu’ils osent le dire. Et pour toi il est impératif de te justifier car pour moins que ça tu sais que tu peux te faire battre, tu n’as jamais connu ça après tout. Même avec une bonne excuse on peut être battu.
Le jeune homme te rassure, pas besoin de savoir lire. Il y a des images dans ses livres. Ca peut-être intéressant à feuilleter en effet, mais tu n’es pas bien sûr de pouvoir accepter. Il approche avec le livre et tu te tends. Une main invisible active tes muscles pour mimer une forme de décontraction. Tu as peur des hommes mais tu as à l’air à cet instant parfaitement à l’aise. Ce qui est un peu contradictoire avec les attitudes précédentes. Mais tu ne sais pas faire autrement car il n’aimait pas que tu sois tendue, que tu ais peur de lui alors c’était moins agréable pour lui. Non c’est avec le sourire que tu devais le supporter et le remercier.
Tes yeux glissent sur le livre que le prince te montre et les motifs que tu y découvres sont sublimes et complexes. Très intéressée, tu te penches sur les pages sans même te rendre compte pour mieux observer les dessins. Les motifs meridiens ont une certaine finesse qu’il serait facile de lier au motif elfiques. Bien à l’inverse des motifs Halogien qui sont plus lourds avec lesquels tu avais lié les motifs meridien qui avaient apporté au rendu une note plus légère, il te faudrait peut-être y à porter un peu d’épaisseur.
La voix du prince te tire de ta contemplation. Tu apprécies ce que tu as sous les yeux mais tu ne sais pas du tout si tu es capable d’accepter. Tes petites divagations en broderie tu as l’habitude de les faire seule… Mais tu es très curieuse d’en savoir davantage sur ses motifs. Tu es tiraillée entre ta curiosité et ta crainte de passer du temps avec un autre être humain. Il y a aussi Sanctaidd qui se chamaille avec toi pour que tu acceptes ; aussi tu ne sais pas bien qui de vous deux répond.
“ - Avec plaisir mon prince.”
Peut-être même que ses mots sont des restes de ton passé. Après tout, tu n'avais pas le droit de dire non. Est ce ta voix, celle de Sanctaidd ou l’habitude. Il te demandait de venir sur ses genoux, son couteau posé près de lui et tu savais ce qui allait t’arriver. Si tu osais reculer, montrer le moindre signe que tu n’en avais pas envie, c’était mille fois pire. Avec un oui, les choses se passaient bien plus vite et avec bien moins de violence. Avec un oui point de bataille.
Le jeune homme te rassure, pas besoin de savoir lire. Il y a des images dans ses livres. Ca peut-être intéressant à feuilleter en effet, mais tu n’es pas bien sûr de pouvoir accepter. Il approche avec le livre et tu te tends. Une main invisible active tes muscles pour mimer une forme de décontraction. Tu as peur des hommes mais tu as à l’air à cet instant parfaitement à l’aise. Ce qui est un peu contradictoire avec les attitudes précédentes. Mais tu ne sais pas faire autrement car il n’aimait pas que tu sois tendue, que tu ais peur de lui alors c’était moins agréable pour lui. Non c’est avec le sourire que tu devais le supporter et le remercier.
Tes yeux glissent sur le livre que le prince te montre et les motifs que tu y découvres sont sublimes et complexes. Très intéressée, tu te penches sur les pages sans même te rendre compte pour mieux observer les dessins. Les motifs meridiens ont une certaine finesse qu’il serait facile de lier au motif elfiques. Bien à l’inverse des motifs Halogien qui sont plus lourds avec lesquels tu avais lié les motifs meridien qui avaient apporté au rendu une note plus légère, il te faudrait peut-être y à porter un peu d’épaisseur.
La voix du prince te tire de ta contemplation. Tu apprécies ce que tu as sous les yeux mais tu ne sais pas du tout si tu es capable d’accepter. Tes petites divagations en broderie tu as l’habitude de les faire seule… Mais tu es très curieuse d’en savoir davantage sur ses motifs. Tu es tiraillée entre ta curiosité et ta crainte de passer du temps avec un autre être humain. Il y a aussi Sanctaidd qui se chamaille avec toi pour que tu acceptes ; aussi tu ne sais pas bien qui de vous deux répond.
“ - Avec plaisir mon prince.”
Peut-être même que ses mots sont des restes de ton passé. Après tout, tu n'avais pas le droit de dire non. Est ce ta voix, celle de Sanctaidd ou l’habitude. Il te demandait de venir sur ses genoux, son couteau posé près de lui et tu savais ce qui allait t’arriver. Si tu osais reculer, montrer le moindre signe que tu n’en avais pas envie, c’était mille fois pire. Avec un oui, les choses se passaient bien plus vite et avec bien moins de violence. Avec un oui point de bataille.
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De l'or pour habit - Ft • Adrian Hresvaelgr